Préambule
Au cours de ses longs déplacements planétaires l’homme s’est trouvé fatalement un jour, face à de larges rivières et à des océans qu’il dû traverser. Il lui fallu aussi composer avec un élément incontournable : le Vent.
L’utilisation de cette énergie a perduré jusqu’à une époque récente. La révolution industrielle du 19ème siècle permis à la construction navale une évolution gigantesque avec l’acier, la machine à vapeur l’hélice puis le moteur thermique et la turbine.
Pour la première fois dans sa longue histoire, l’homme pouvait abandonner l’énergie éolienne.
C’était un miracle, les énergies fossiles venaient d’apporter à l’homme facilité et évolution dans tous les domaines, terrestres, maritimes, aériens.
Sauf que…
Cette énergie n’est pas éternelle! Elle va générer des choses inconnues jusqu’alors, pollution, précarité, gaspillage, richesses immorales et pauvretés extrêmes, conflits armés, effets sur le climat et pour en terminer, un pillage universel d’une planète de plus en plus sollicitée.
L’apparition des « Containers », en facilitant manutention et rapidité d’exécution a rendu désuet le transport du « divers » internationalement appelé « Général Cargo » et a modifié la construction navale pour en arriver à des géants spécialisés.
Sauf que….
Cette nouvelle manière de transporter pourrait paraître sans faille, avec sa rapidité et sa rentabilité. Mais ces navires coûtent très cher. Ils sont voraces en métaux et en éléments rares, voraces en combustible car la vitesse se paye cher.
Quant à la pollution, elle est de plus en plus évidente ne pouvant que s’accélérer.
Le monde s’est soudain séparé en deux. Il y a celui qui a les moyens de bénéficier de ces technologies de pointe sur les grands axes mondiaux et l’autre, celui du cabotage hors des circuits de distribution à grande échelle.
Toutes ces observations non exhaustives ont amené des gens de la mer et pas seulement des marins à repenser d’autres moyens de transporter et de se déplacer.
Le projet
Le vent est toujours là. Le sport nautique de haute compétition s’en est brillamment servi. Il a permis un autre esprit de construction, de matériaux, de gréements, de structure de voiles. La vitesse est là et la non pollution est totale.
Alors pourquoi ne pas se servir de ces avancées magnifiques pour venir au secours du transport du « divers » au profit des populations nombreuses mais disséminées.
Parmi plusieurs voies d’exploration, comme celle d’adapter l’ancestral « Prao » au transport de marchandises, d’autres, dont « EOLE MARINE COLPORTAGE » (EMC), travaille à l’élaboration d’un navire de charge à propulsion Eolienne associée à une propulsion moderne novatrice.
Ce type de navire à propulsion mixte, fiable, économe, à faible pollution atmosphérique du fait de la réduction de puissance utilisée des moteurs thermiques installés, d’un maniement aisé, serait particulièrement bien adapté aux îles de l’Océan Pacifique et des autres lieux similaires de notre planète
Dans un premier temps c’est en Polynésie Française qu’avec EMC, nous avons pensé intéresser des Armateurs et Transporteurs qui se trouvent face à des problèmes de distribution de passagers et de marchandises dans les nombreux atolls.
Notre approche sera d’autant plus facilitée que dans ce territoire, nous parlons la même langue, avons le même droit maritime et partageons un passé commun.
Notre intention n’est pas de devenir Armateurs nous-mêmes. Nous n’avons aucune prétention à ce sujet ni aucune arrogance à nous comporter en concurrents de quoique ce soit dans ce domaine.
Notre souhait est de travailler à la conception d’un nouveau type de navire à propulsion éolienne mixte, en conformité avec des exigences exprimées par les utilisateurs.
Des contacts en Polynésie nous ont déjà fait savoir que notre proposition n’était pas restée lettre morte.
Nous pouvons proposer de participer à une réflexion commune en plusieurs étapes.
- D’abord un inventaire global des besoins à réaliser qui permettrait une première proposition. (en cours d’élaboration)
- Ensuite un voyage d’études grâce auquel l’élaboration d’un navire adapté et adaptable serait ensuite proposée.
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Voir Annexe
EMC « Eole Marine Colportage »
Département de l’ONG « Watever » qui s’exprime dans le milieu marin de différentes contrées maritimes défavorisées de la planète. Il se compose de :
Marc Van Peteghem, architecte naval de grand talent, au palmarès prestigieux, il s’exprime dans la Direction du bureau d’études VPLP et dans la Présidence de l’ONG « Watever ». Il forme avec Alain Connan l’ossature de ce département.
Alain Connan, ancien Commandant de la Marine Marchande au plus haut échelon, a une grande expérience du transport maritime. Il fut aussi Commandant surveyor dans des Chantiers Navals Allemands et Québécois. Il est cofondateur de Friendship, et membre d’honneur de la Maritime Search and Rescue Society du Bengale Il est aussi membre du comité de soutien de « Citoyens du Monde ». Cofondateur de Watever il en est membre du bureau.
Yves Marre, marin et aviateur, a crée « Friendship » France en 1993 pour l’aménagement des péniches déclassées en hôpitaux flottants pour les pays défavorisés. Il a créé un Chantier Naval à Chittagong au Bengladesh pour la construction de bateaux de pêche insubmersibles. Enfin il vient de créer une Société de sauvetage en mer du Bengale reconnue par le gouvernement Bengali. Son expérience de vingt ans comme Chef d’entreprise à l’étranger est inestimable. Il est vice président de Watever.
Gérald Similowski ancien Commandant de bord à Air France et co-fondateur de l’ONG « Aviation sans frontières ». Membre fondateur de Watever, dont il fait partie du bureau.
Jeremy Bertaud jeune homme attaché au bureau d’études VPLP, il coordonne efficacement depuis ses débuts l’ONG Watever dont il est un pilier indispensable.
Alexandra Sourbier jeune Ingénieure du Génie Maritime a un parcours étonnant de deux ans au Bangladesh dans le domaine associatif naval et dans la création d’un lycée de la mer. Sa culture maritime et ses idées novatrices seront un apport précieux dans l’évolution d’EMC.
Antoine Horellou jeune et dynamique, sorti des écoles supérieures de commerce et créateur de Sociétés dont la définition est de s’exprimer dans des pays sensibles.
Jean Paul Théron médecin en Polynésie, est très impliqué dans un environnement spécifique aux îles et atolls. En tant que un responsable politique il s’est exprimé à maintes reprises dans ce territoire d’outre mer. Enthousiasmé par le projet il nous soutient en Polynésie.
Jean Louis Tachoires, ancien de la Marine Nationale il est résident en Polynésie depuis plusieurs décennies. Très impliqué dans les activités du Maritime et connexes en Polynésie, il a accepté d’être le consultant « EMC » dans cette partie du monde.